À la lueur de centaines de bougies, les cordes de l’Ensemble Osmose résonnent aux quatre coins de l’édifice. Au programme, d’abord la musique du maître Jean-Sébastien Bach, avec ses variations Goldberg composées pour occuper les nuits du comte von Keyserling souffrant d’insomnie. Puis ce seront les Métamorphoses de Richard Strauss qui sonneront dans la nef, œuvre crépusculaire à bien des égards.