Dans une version dépouillée, où l’absence des voix et de la couleur orchestrale n’a rien de frustrant ou de dénaturant pour l’oeuvre, le geste chorégraphique devient verbe.
Chaque mouvement est une évocation à la fois précise et subtile de l’oeuvre originale.
Les quatre instruments offrent une nouvelle couleur des harmonies, des ambiances qui oscillent entre accents terribles et tendres mélodies apaisantes et mélancoliques en nous invitant à redécouvrir l’oeuvre dans toute son...
Dans une version dépouillée, où l’absence des voix et de la couleur orchestrale n’a rien de frustrant ou de dénaturant pour l’oeuvre, le geste chorégraphique devient verbe.
Chaque mouvement est une évocation à la fois précise et subtile de l’oeuvre originale.
Les quatre instruments offrent une nouvelle couleur des harmonies, des ambiances qui oscillent entre accents terribles et tendres mélodies apaisantes et mélancoliques en nous invitant à redécouvrir l’oeuvre dans toute son intimité.
Dans cette version, le geste chorégraphique redonne vie au mot, dans le silence du chant il lui offre un sens nouveau, quintessence d’une beauté mystique quasi charnelle, profondeur millénaire de la mémoire corporelle des douleurs passées.
En ouverture de soirée, les élèves du Conservatoire Michel Legrand danseront Les Indes Galantes, chorégraphiées par Estelle DANVERS.